La CSN appuie les travailleuses et les travailleurs en grève pour hausser le salaire minimum

Articles récents

Les employé-es de la SAQ en grève contre la précarité d’emploi

Les employé-es de la SAQ en grève contre la précarité d’emploi

Après plus d’un an de négociation, toujours sans entente sur les aspects normatifs de leur convention,…
« Nous aussi, on veut notre part ! » – Jean-Guy Picard

« Nous aussi, on veut notre part ! » – Jean-Guy Picard

Le Syndicat des travailleuses et travailleurs des Autobus Voltigeurs–CSN et le Syndicat du transport de la…
Les employé-es de la SAQ en grève mercredi et jeudi

Les employé-es de la SAQ en grève mercredi et jeudi

À moins d’avancées significatives à la table de négociation aujourd’hui et demain, les 5000 employé-es de…
Un premier entrepôt Amazon en voie d’être syndiqué au Québec

Un premier entrepôt Amazon en voie d’être syndiqué au Québec

Un premier entrepôt d’Amazon est en voie d’être syndiqué au Québec : la CSN a en…
Le syndicat d’Amcor–CSN déclenche une grève d’une semaine

Le syndicat d’Amcor–CSN déclenche une grève d’une semaine

Ce matin, le Syndicat des travailleuses et travailleurs d’Amcor–CSN a déclenché une grève de 7 jours, jusqu’au…
Les auxiliaires d’enseignement de McGill obtiennent 15,5 % d’augmentation

Les auxiliaires d’enseignement de McGill obtiennent 15,5 % d’augmentation

Réunis en assemblée générale jeudi soir, les 1600 auxiliaires d’enseignement de l’Université McGill ont mis fin à…

Restauration rapide aux États-Unis

La CSN appuie les travailleuses et les travailleurs en grève pour hausser le salaire minimum

La Confédération des syndicats nationaux (CSN) tient à manifester son soutien aux milliers de travailleuses et de travailleurs de la restauration rapide qui tiennent aujourd’hui une journée de grève dans quelque 150 villes américaines. Ceux-ci demandent notamment une hausse du salaire minimum.

« Nous sommes de tout cœur avec ces salarié-es et tenons à leur exprimer notre plus entière solidarité, lance d’entrée de jeu le président de la CSN, Jacques Létourneau. Au Québec, une personne qui travaille 40 heures par semaine au salaire minimum atteint à peine le seuil de faible revenu », rappelle-t-il. Jacques Létourneau ajoute que plus de 90 % de ces travailleurs ne sont pas syndiqués et n’ont aucun rapport de force devant leur employeur.

« Ceux-ci dépendent essentiellement du gouvernement pour améliorer leur situation et c’est pourquoi il doit impérativement augmenter le salaire minimum de façon appréciable pour leur permettre de vivre décemment et de se sortir de la pauvreté », plaide-t-il. Pour le président de la CSN, l’augmentation du salaire minimum est de nature à stimuler l’économie locale et régionale. « Il n’y a pas lieu de craindre des pertes d’emplois massives, comme tentent de nous le faire croire les représentants patronaux », insiste-t-il. Notons que des actions sont également prévues aujourd’hui dans une trentaine de pays aux quatre coins du monde pour protester contre les bas salaires.

Au cours du 64e Congrès de la CSN, qui se tient du 26 au 30 mai à Québec, la CSN recommandera notamment à ses quelque 2300 délégué-es une série de propositions visant à améliorer les conditions de travail et de vie des travailleuses et des travailleurs non syndiqués.

Partager cette page sur Facebook Twitter LinkedIn Reddit Pinterest WeChat Mix Pocket

À LA UNE

Le Point syndical  automne 2023