Le syndicat de la Caisse Populaire de Rouyn-Noranda augmente sa banque de jours de grève.

Articles récents

Les employé-es de la SAQ en grève contre la précarité d’emploi

Les employé-es de la SAQ en grève contre la précarité d’emploi

Après plus d’un an de négociation, toujours sans entente sur les aspects normatifs de leur convention,…
« Nous aussi, on veut notre part ! » – Jean-Guy Picard

« Nous aussi, on veut notre part ! » – Jean-Guy Picard

Le Syndicat des travailleuses et travailleurs des Autobus Voltigeurs–CSN et le Syndicat du transport de la…
Les employé-es de la SAQ en grève mercredi et jeudi

Les employé-es de la SAQ en grève mercredi et jeudi

À moins d’avancées significatives à la table de négociation aujourd’hui et demain, les 5000 employé-es de…
Un premier entrepôt Amazon en voie d’être syndiqué au Québec

Un premier entrepôt Amazon en voie d’être syndiqué au Québec

Un premier entrepôt d’Amazon est en voie d’être syndiqué au Québec : la CSN a en…
Le syndicat d’Amcor–CSN déclenche une grève d’une semaine

Le syndicat d’Amcor–CSN déclenche une grève d’une semaine

Ce matin, le Syndicat des travailleuses et travailleurs d’Amcor–CSN a déclenché une grève de 7 jours, jusqu’au…
Les auxiliaires d’enseignement de McGill obtiennent 15,5 % d’augmentation

Les auxiliaires d’enseignement de McGill obtiennent 15,5 % d’augmentation

Réunis en assemblée générale jeudi soir, les 1600 auxiliaires d’enseignement de l’Université McGill ont mis fin à…

Reprise des négociations chez Desjardins

AG STT caisse pop rouyn-noranda

Le syndicat de la Caisse Populaire de Rouyn-Noranda augmente sa banque de jours de grève.

Une semaine après que le syndicat ait eu gain de cause devant le Tribunal administratif du travail face à l’employeur Desjardins, les discussions à la table de négociations reprenaient hier. Les pourparlers se sont déroulés toute la journée, mais toujours deux éléments restent à régler : l’aspect salarial et la gestion de rendement. Pour la présidente du syndicat affilié à la Fédération du commerce–CSN et au Conseil central de l’Abitibi-Témiscamingue–Nord-du-Québec, Isabelle Frelas, la proposition de l’employeur constitue toujours un recul majeur au niveau salarial. « Hier soir, nous avons soumis aux membres, réunis en assemblée générale, le contenu de l’offre de Desjardins sur le salarial et ils ont vite compris que ceci représentait une perte de salaire variant de 3000 $ à 5000 $ pour la durée de la convention collective devant se terminer en 2022 ».

« Sans aucune justification de l’employeur, alors que notre demande représente un statu quo à ce qu’on gagne actuellement, la réponse a été sans équivoque : les membres ont choisi d’augmenter la banque de jours de grève donnant au syndicat 15 jours supplémentaires de ce moyen de pression ultime pour que l’employeur saisisse qu’après plus de 17 mois sans contrat de travail, un règlement passe par le respect du personnel syndiqué et ceci sans ce genre de recul » de poursuivre Isabelle Frelas.

« À ce moment-ci, il n’y a pas d’autres dates d’arrêtées pour reprendre la négociation, et nous sommes toujours prêts à continuer à négocier, grève ou pas. Nos positions et mandats sont connus par Desjardins, et quelques heures suffisent pour terminer cette négociation. La volonté et la bonne foi doivent maintenant s’actualiser » de conclure la présidente du Syndicat des travailleuses et travailleurs de la Caisse Populaire de Rouyn-Noranda, affilié à la CSN.

Partager cette page sur Facebook Twitter LinkedIn Reddit Pinterest WeChat Mix Pocket

À LA UNE

Caroline Senneville sur la syndicalisation d'un entrepôt AMAZON à Laval
Partager cette nouvelle

Le Point syndical  automne 2023

Vie syndicale