La CRT confirme la mauvaise foi du gouvernement Charest

Articles récents

Les employé-es de la SAQ en grève mercredi et jeudi

Les employé-es de la SAQ en grève mercredi et jeudi

À moins d’avancées significatives à la table de négociation aujourd’hui et demain, les 5000 employé-es de…
Un premier entrepôt Amazon en voie d’être syndiqué au Québec

Un premier entrepôt Amazon en voie d’être syndiqué au Québec

Un premier entrepôt d’Amazon est en voie d’être syndiqué au Québec : la CSN a en…
Le syndicat d’Amcor–CSN déclenche une grève d’une semaine

Le syndicat d’Amcor–CSN déclenche une grève d’une semaine

Ce matin, le Syndicat des travailleuses et travailleurs d’Amcor–CSN a déclenché une grève de 7 jours, jusqu’au…
Les auxiliaires d’enseignement de McGill obtiennent 15,5 % d’augmentation

Les auxiliaires d’enseignement de McGill obtiennent 15,5 % d’augmentation

Réunis en assemblée générale jeudi soir, les 1600 auxiliaires d’enseignement de l’Université McGill ont mis fin à…
Avenir de la forêt : La CSN s’inquiète de l’avenir de la scierie Petit Paris

Avenir de la forêt : La CSN s’inquiète de l’avenir de la scierie Petit Paris

La CSN s’inquiète de l’avenir de Produits Forestiers Petit Paris à Saint-Ludger-de-Milot, au Lac-Saint-Jean. L’entreprise pourrait…
Une nouvelle clinique Lacroix pour accentuer les problèmes du réseau de la santé

Une nouvelle clinique Lacroix pour accentuer les problèmes du réseau de la santé

Nous apprenions dernièrement par les réseaux sociaux qu’une nouvelle clinique de médecine privée allait ouvrir à…

Négociation du secteur public 2004-2005

La CRT confirme la mauvaise foi du gouvernement Charest

« S’il fallait une preuve de plus de la mauvaise foi du gouvernement Charest lors de la négociation de 2004-2005, la Commission des relations du travail vient de la donner. »

Telle est la première réaction du président de la CSN, Louis Roy, à la décision rendue cet après-midi par la CRT, qui confirme la mauvaise foi du gouvernement et de la présidente du Conseil du trésor, Monique Jérôme-Forget, qui était en poste à ce moment-là.

Déjà, en mars 2007, le Bureau international du travail avait sévèrement condamné le décret gouvernemental qui avait imposé les conditions de travail aux 500 000 travailleuses et travailleurs du secteur public québécois. Le BIT mentionnait que le projet de loi 142 (devenu loi 43), adopté sous le bâillon en décembre 2005, allait à l’encontre des conventions internationales du travail.

La CSN et les autres organisations syndicales contestent présentement, devant la Cour supérieure, la validité de cette loi 43 tant décriée.

Rappelons que si la CRT détient la juridiction exclusive pour apprécier la bonne foi d’un employeur à la table de négociation, seule la Cour supérieure peut invalider la loi 43. Aussi, nous croyons que la décision de la CRT pourra avoir un impact significatif sur le procès que préside actuellement la juge Claudine Roy et qui vise à faire déclarer la loi 43 inconstitutionnelle parce qu’adoptée en violation des dispositions des chartes qui protègent la liberté d’association.

Partager cette page sur Facebook Twitter LinkedIn Reddit Pinterest WeChat Mix Pocket

À LA UNE

Le Point syndical  automne 2023