L’employeur devra tôt ou tard donner l’heure juste

Articles récents

Les employé-es de la SAQ en grève contre la précarité d’emploi

Les employé-es de la SAQ en grève contre la précarité d’emploi

Après plus d’un an de négociation, toujours sans entente sur les aspects normatifs de leur convention,…
« Nous aussi, on veut notre part ! » – Jean-Guy Picard

« Nous aussi, on veut notre part ! » – Jean-Guy Picard

Le Syndicat des travailleuses et travailleurs des Autobus Voltigeurs–CSN et le Syndicat du transport de la…
Les employé-es de la SAQ en grève mercredi et jeudi

Les employé-es de la SAQ en grève mercredi et jeudi

À moins d’avancées significatives à la table de négociation aujourd’hui et demain, les 5000 employé-es de…
Un premier entrepôt Amazon en voie d’être syndiqué au Québec

Un premier entrepôt Amazon en voie d’être syndiqué au Québec

Un premier entrepôt d’Amazon est en voie d’être syndiqué au Québec : la CSN a en…
Le syndicat d’Amcor–CSN déclenche une grève d’une semaine

Le syndicat d’Amcor–CSN déclenche une grève d’une semaine

Ce matin, le Syndicat des travailleuses et travailleurs d’Amcor–CSN a déclenché une grève de 7 jours, jusqu’au…
Les auxiliaires d’enseignement de McGill obtiennent 15,5 % d’augmentation

Les auxiliaires d’enseignement de McGill obtiennent 15,5 % d’augmentation

Réunis en assemblée générale jeudi soir, les 1600 auxiliaires d’enseignement de l’Université McGill ont mis fin à…

Progrès ou retard ?

L’employeur devra tôt ou tard donner l’heure juste

Comme convenu, la négociation a repris hier entre Loblaws (Provigo) et le Syndicat des travailleuses et travailleurs du Provigo Témiscaming affilié à la Fédération du commerce-CSN. Pour la présidente du syndicat, Cathy Presseault : « Cette longue journée nous aura permis de réitérer nos demandes et d’expliquer que celles-ci trouvent leurs justifications dans notre épicerie à Témiscaming avec des exemples concrets pour solutionner des problèmes concrets », de dire la porte-parole syndicale.

« Pour nous, bien qu’encore au stade des explications de nos revendications des dispositions normatives, n’ayant eu à ce jour aucune discussion sur l’aspect monétaire (contrairement à ce qui a été mentionné par l’employeur), l’exercice d’hier aura permis, souhaitons-le, de faire progresser la négociation sans oublier que plusieurs propositions patronales ont été acceptées par le syndicat », de poursuivre Cathy Presseault.

Bien que nous soyons pleinement disponibles, ce n’est que le 30 janvier prochain que Loblaws devra répondre à son tour au document déposé par le syndicat et justifier de la même façon ses réponses. Dire NON, c’est facile, mais expliquer pourquoi, ça l’est un peu moins… Quant aux fins de non-recevoir, ce n’est que source de conflit.

« Enfin, nous ne pouvons laisser passer sous silence les dernières déclarations du relationniste de Loblaws qui minimise les demandes de celles et ceux qui permettent à la clientèle d’avoir le meilleur service possible et qui souhaitent profondément le maintenir, mais aussi l’améliorer. Hé oui, ne lui en déplaise, que l’on soit à Témiscaming ou ailleurs, comme travailleuses et travailleurs dans un marché d’alimentation, nous avons compris que la priorité en négociation, c’est la clientèle et nous sommes convaincus que nos demandes visent aussi cet objectif. Alors, sur la lenteur des négociations, Loblaws aurait intérêt à cesser de dire n’importe quoi, si ce n’est que leurs réelles intentions », de conclure Cathy Presseault, président du STT de Provigo Témiscaming-CSN

Partager cette page sur Facebook Twitter LinkedIn Reddit Pinterest WeChat Mix Pocket

À LA UNE

Le Point syndical  automne 2023