Vidéo, 28 avril 2024
Lire la vidéo sur Vidéo, 28 avril 2024

Le syndicat poursuit ses efforts pour relancer le chantier

Articles récents

28 avril : des données toujours aussi dérangeantes pour l’année 2023

28 avril : des données toujours aussi dérangeantes pour l’année 2023

Le 28 avril, la Confédération des syndicats nationaux souligne chaque année la Journée internationale de commémoration des…
Le maintien de l’équité salariale ne doit pas se faire au rabais

Le maintien de l’équité salariale ne doit pas se faire au rabais

La CSN salue une récente décision du tribunal qui indique que les employeurs ne peuvent dévier…
Les employé-es de la SAQ en grève contre la précarité d’emploi

Les employé-es de la SAQ en grève contre la précarité d’emploi

Après plus d’un an de négociation, toujours sans entente sur les aspects normatifs de leur convention,…
« Nous aussi, on veut notre part ! » – Jean-Guy Picard

« Nous aussi, on veut notre part ! » – Jean-Guy Picard

Le Syndicat des travailleuses et travailleurs des Autobus Voltigeurs–CSN et le Syndicat du transport de la…
Les employé-es de la SAQ en grève mercredi et jeudi

Les employé-es de la SAQ en grève mercredi et jeudi

À moins d’avancées significatives à la table de négociation aujourd’hui et demain, les 5000 employé-es de…
Un premier entrepôt Amazon en voie d’être syndiqué au Québec

Un premier entrepôt Amazon en voie d’être syndiqué au Québec

Un premier entrepôt d’Amazon est en voie d’être syndiqué au Québec : la CSN a en…

Élection à la présidence du syndicat le 23 mai

Le syndicat poursuit ses efforts pour relancer le chantier

Il y aura élection, le 23 mai prochain, à la présidence du Syndicat des travailleurs du chantier naval de Lauzon (CSN).

Le président sortant, Paul-André Brulotte, ne sollicitera pas un nouveau mandat. Il a décidé de quitter pour une retraite bien méritée. Il souhaite cependant une continuité dans le travail déjà effectué par son équipe et lui-même dans la relance du chantier. « Les enjeux concernant la reprise des activités et les emplois qui s’y rattachent sont beaucoup trop importants pour laisser cette responsabilité à des personnes ayant des intérêts personnels autres que ceux de l’ensemble des travailleurs », explique-t-il.

C’est pourquoi il appuie la candidature de Gaétan Sergerie à sa succession au poste de président du syndicat. Paul-André mentionne : « Je suis persuadé que Gaétan Sergerie est la meilleure personne pour diriger l’équipe de notre syndicat et pour assurer la continuité du travail entrepris. Durant ces dernières années, Gaétan a été un vice-président efficace, maîtrisant parfaitement l’ensemble de ses dossiers. »

Signature de la construction de deux traversiers Par ailleurs, le syndicat se réjouit de l’annonce de la signature de la construction de deux traversiers pour la Société des traversiers du Québec. Ce contrat renforce le redémarrage de l’entreprise, déjà amorcé avec la poursuite des travaux de construction de trois navires.

Le syndicat travaille sans relâche pour relancer le chantier Le syndicat travaille sans relâche à la relance des activités au chantier, notamment depuis le mois de février 2010, date à laquelle l’ancien propriétaire Téco Management a éprouvé des difficultés financières, ce qui l’a amené à interrompre la construction des navires en cours et à effectuer la mise à pied des travailleurs. À la suite des problèmes rencontrés par l’employeur, le syndicat, en plus de s’occuper des travailleurs sans emploi et de la mise en place d’un comité de reclassement, avait entrepris la négociation d’une convention collective avec un premier groupe, Fincantierie, qui se disait intéressé à acquérir le chantier. 2000 $ pour chaque travailleur

Après le désistement de ce dernier, le syndicat a entrepris une renégociation des conditions de travail avec un second groupe, Upper Lakes, qui devait prendre possession de l’entreprise. C’est avec ce nouveau propriétaire que le syndicat a négocié et obtenu un paiement de 2000 $ net pour chaque travailleur. Depuis le début, le syndicat a œuvré sans arrêt avec tout acheteur capable d’acquérir et d’exploiter le chantier. Il travaille présentement avec le propriétaire ZM Industrie à la relance, laquelle est bien entreprise. Des rappels réguliers ont lieu toutes les semaines et un contrôle rigoureux des heures travaillées est effectué par le PDG de la compagnie.

Partager cette page sur Facebook Twitter LinkedIn Reddit Pinterest WeChat Mix Pocket

À LA UNE

Caroline Senneville sur la syndicalisation d'un entrepôt AMAZON à Laval
Partager cette nouvelle

Le Point syndical  automne 2023

Vie syndicale