Prenant le relais de la campagne de boycottage du Journal de Montréallancée par la CSN, le SPGQ a fait connaître son appui à la CSN et a transmis l’information à ses membres par le biais d’un article dans leur journal les invitant à ne pas acheter, accepter de recevoir gratuitement ou lire le journal. De plus, le SPGQ se propose de faire des contributions financières en appui aux travailleuses et aux travailleurs du Syndicat des travailleuses et travailleurs de l’information du Journal de Montréal (STIJM-CSN). Par ailleurs, la CSN demande au gouvernement Charest de modifier la loi anti-briseurs de grève afin qu’elle tienne compte des possibilités offertes par les nouvelles technologies du Web et qui font en sorte de pervertir l’esprit de la loi telle qu’adoptée en 1977.