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      Syndicat de la STM–CSN

      Une entente in extremis approuvée à 96,5 % !

      « On a livré toute une bataille. » -lancé Gleason Frenette, président du STM–CSN

      Par Thierry Larivière

      Le chemin fut cahoteux, mais le trajet en valait la peine. Les 2400 employé-es d’entretien de la Société de transport de Montréal (STM) ont finalement obtenu une bonne entente. Intervenue à la suite d’une recommandation du médiateur du ministère du Travail, cette entente a été approuvée à 96,5 % en assemblée générale extraordinaire, le 10 mars dernier.

      « On a livré toute une bataille », a lancé Gleason Frenette, président du STM–CSN, qui a rappelé la longue liste de reculs qui ont été évités, dont la privatisation de certaines tâches. Le président a été chaudement applaudi par environ 1600 membres présents à l’assemblée générale extraordinaire. Il aura donc fallu près de deux ans et 170 rencontres de négociation pour franchir la ligne d’arrivée.

      Rien ne permettait de croire à cette conclusion favorable quand on se souvient du climat tendu avec l’employeur pendant la négociation. Ce dernier n’a pas hésité à judiciariser le conflit à maintes reprises devant différentes instances, comme le Tribunal administratif du travail (TAT) et la Cour supérieure. Ce fut notamment le cas lors d’un débrayage spontané de plus de 600 mécaniciens, le 15 novembre dernier, tout de suite après une entrevue du directeur général de la STM avec Mario Dumont. Les travailleuses et travailleurs n’avaient tout simplement pas accepté de prendre le blâme pour le nombre élevé d’autobus en réparation à ce moment-là, comme le prétendait le directeur général lors de l’entrevue. Le syndicat et son président ont martelé à plusieurs reprises les divers problèmes de fiabilité des autobus, notamment les nouveaux hybrides, l’hiver difficile que nous avons connu et le problème des pannes d’essence de certains autobus qui s’expliquent en partie par une restructuration des opérations qui avait été dénoncée par le syndicat à plusieurs reprises.

      L’employeur avait même annoncé au syndicat qu’il allait se prévaloir des dispositions de la loi 24 adoptée en 2016. En bout de course, cette loi permet aux municipalités de demander la nomination d’un mandataire spécial au ministère des Affaires municipales et de l’Habitation. Cette disposition est prévue lorsque « des circonstances exceptionnelles le justifient » et si « tous les moyens en vue de régler le différend ont été épuisés ». Il est important de noter que la nomination d’un mandataire spécial n’a encore jamais été utilisée par une municipalité ou une société de transport du Québec depuis l’adoption de la loi.

      Le STT de la STM–CSN aura finalement échappé à cette possibilité en continuant à négocier et en s’entendant sur la base d’une recommandation de règlement soumise par le médiateur du ministère du Travail dans la dernière étape. L’entente est survenue vers 5 h du matin, le 28 février, après un marathon de trois jours et trois nuits d’intenses négociations.

      Des gains intéressants
      En ce qui concerne le salaire, les employé-es du STT de la STM–CSN auront droit à une augmentation de 2 % par année pendant sept ans. Pour les deux dernières années, 2023 et 2024, l’augmentation pourra dépasser 2 % en fonction de l’indice des prix à la consommation. Un plafond de 3 % d’augmentation est toutefois prévu si jamais l’IPC atteignait ce niveau, ce qui n’a pas été vu depuis plusieurs années.

      L’entente prévoit aussi une bonification de plusieurs primes et la création de nouvelles. Ainsi, la prime de nuit passera à 1,95 $ l’heure, soit une hausse de 0,65 $, et la prime de soir sera de 1 $ l’heure, une hausse de 0,25 $. De nouvelles primes d’espace clos (0,75 $) et de travail avec des déchets biologiques (1 $) sont également introduites. Une prime de 15 % est nouvellement prévue pour le samedi.

      Notons aussi un rattrapage salarial pour les gens de métier et une nouvelle prime de flexibilité. Le rattrapage salarial était au cœur des enjeux syndicaux, où certains métiers pouvaient accuser un retard salarial de 8 $ l’heure comparativement aux compétiteurs. Pour certains, l’augmentation pourrait donc atteindre 4,5 % la dernière année de la convention collective.

      L’employeur a obtenu quelques gains aussi, notamment sur la possibilité de créer des quarts de soir et de nuit sur trois sites. Les primes de soir et de nuit ont par ailleurs été majorées pour faciliter la transition.

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