L’École de la relève syndicale, c’est une vingtaine de jeunes réunis durant trois jours de formations, d’échanges, et de réseautage dans un contexte ludique. Cette formation est destinée aux jeunes travailleuses et travailleurs syndiqués de la CSN âgés de 35 ans et moins avec peu ou pas d’expérience syndicale.

L’École de la relève syndicale, c’est une vingtaine de jeunes réunis durant trois jours de formations, d'échanges, et de réseautage dans un contexte ludique. Cette formation est destinée aux jeunes travailleuses et travailleurs syndiqués de la CSN âgés de 35 ans et moins avec peu ou pas d’expérience syndicale.

Le comité national des jeunes a pour mandat de conseiller la CSN et ses organisations affiliées sur l’ensemble des questions pouvant toucher de près ou de loin les conditions de vie et de travail des jeunes, qu’ils soient syndiqué-es ou non. Le comité veille à promouvoir les intérêts et les préoccupations des jeunes au sein de la confédération. De plus, les membres du comité des jeunes sont les ambassadeurs de la CSN auprès des différents organismes jeunesse du Québec.

Parmi les dossiers permanents du comité, mentionnons la formation syndicale, l’intégration des nouveaux membres dans les syndicats, la vie syndicale, la promotion de l’action collective et la relève syndicale.

Dans ce mémoire, la CSN déplore le manque de cohérence de la Loi resserrant l'encadrement du cannabis, laquelle propose de hausser l’âge légal pour consommer du cannabis à 21 ans. Le projet de loi vient implicitement exclure les travailleurs et les travailleuses âgées entre 18 et 21 ans. La CSN trouve cette situation injuste et déraisonnable.

Pour la CSN, hausser à 21 ans l’âge minimal requis pour se procurer du cannabis va à l’encontre des objectifs poursuivis dans le cadre de la légalisation, car une telle décision laissera en plan une bonne partie de la clientèle, composée des plus jeunes, qui s’approvisionnera, avec tous les risques que cela comporte, auprès des organisations criminalisées.

Au lieu de miser sur l’interdiction, le gouvernement devrait plutôt rendre accessible des fonds pour assurer la prévention, la sensibilisation et l’éducation auprès de nos jeunes.

Lors du 65e Congrès de la CSN, le comité national des jeunes (CNJ) a présenté le bilan de ses activités menées au cours du mandat 2014-2017 et les perspectives d’action pour la période à venir (2017-2020).

En plus de poursuivre les activités régulières et de représentation, le comité s’était donné comme objectif, entre autres, de renforcer ses interventions politiques en participant à la consultation sur la Politique québécoise de la jeunesse 2030 et en intervenant sur son plan de mise en oeuvre. Le comité voulait aussi accroître la place des jeunes au sein du mouvement CSN et s’impliquer davantage sur la question de la syndicalisation des jeunes travailleuses et travailleurs.

Dans la poursuite de ses travaux, trois éléments sont au coeur des interventions du CNJ :

1. Contribuer aux diverses interventions de la CSN concernant la modernisation de la Loi sur les normes du travail (LNT), en particulier sur les enjeux afférents au travail atypique, aux agences de placement, aux disparités de traitement, à la conciliation famille-travail-études et aux conditions de travail et de rémunération des stagiaires. Le comité poursuivra aussi son appui à la campagne 5-10-15 aux côtés de la CSN et de nos allié-es.
2. Solidifier les liens entre les jeunes des diverses organisations jeunesse, particulièrement les organisations syndicales.
3. Doter la CSN d’outils sur les enjeux concernant les jeunes dans les syndicats, notamment l’accueil des nouveaux membres. De plus, le comité national des jeunes s’assurera de promouvoir ces divers outils.

Le présent plan de travail s’inspire des perspectives du comité national des jeunes ainsi que des résolutions qui ont été adoptées lors du 65e Congrès de la CSN.

Le 6^e Rassemblement des jeunes, qui s’est tenu en novembre 2016, a donné l’occasion au comité national d’aller à la rencontre des jeunes membres de la CSN et de discuter de leurs préoccupations à l’égard de leur milieu de travail, de leur syndicat et de leur profession, mais également d’enjeux sociaux et politiques. Plusieurs pistes de solution ont émergé de ces échanges et ont été répertoriées dans un document rassembleur : l’appel à l’engagement.