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Le syndicat adopte l’entente de principe à 81 %

Aujourd’hui, lors d’une assemblée générale, les membres du Syndicat des travailleuses et des travailleurs de l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis (CSN) (STTHGPD) ont adopté à 81 % par voie de scrutin secret l’entente de principe intervenue avec leur employeur au matin du 6 avril dernier.

« Nous pouvons retourner au travail la tête haute. Nous avons préservé tous nos acquis et nous avons obtenu des augmentations salariales de 3 %, 3 %, 3 %, 4 % et 3 % pour les cinq premières années de notre contrat de travail de huit ans. Les augmentations des trois dernières années seront rattachées à celles de cinq grands hôtels de la région montréalaise qui participeront à la prochaine ronde de négociations coordonnées, de souligner Yvon Therrien, président du STTHGPD. Nous avons également obtenu des indemnités de départ importantes, ce qui constitue une protection pour nos membres contre les aléas venant de l’employeur, et nous pourrons rejoindre la ronde de négociations coordonnées de l’hôtellerie à l’échéance de notre nouvelle convention collective. Dans le contexte d’un lock-out auquel nous avons fièrement résisté, nous considérons que nous avons été chercher le maximum. »

Le retour au travail débutera dans les cinq jours suivant la signature du nouveau contrat de travail entre les deux parties.

« Après un conflit de près de 17 semaines débuté le 14 décembre dernier et durant lequel l’employeur a brandi des menaces de fermeture, de changement de vocation, d’envoi d’avis de licenciement massif, et le Tribunal administratif du travail a reconnu l’utilisation de briseurs de grève par leur employeur, il est clair qu’une amertume persiste chez les membres du syndicat, de déplorer Michel Valiquette, trésorier de la Fédération du commerce–CSN et responsable politique de la négociation coordonnée de l’hôtellerie. Les travailleuses et les travailleurs peuvent être fiers de cette lutte exemplaire. Pour le bien de toutes et de tous, nous souhaitons maintenant que le retour à des relations de travail respectueuses et saines se fasse le plus rapidement possible. »

Affilié à la FC–CSN, le STTHGPD compte environ 100 membres. Le secteur de l’hôtellerie de la FC–CSN regroupe près de 5000 membres dans 57 syndicats. La Fédération du commerce–CSN compte 30 000 membres regroupés au sein de 360 syndicats œuvrant dans les domaines du commerce de gros et de détail, de l’agroalimentaire, de la finance et du tourisme.

Fondée en 1921, la CSN est une organisation syndicale qui œuvre pour une société solidaire, démocratique, juste, équitable et durable. À ce titre, elle s’engage dans plusieurs débats qui intéressent la société québécoise. Elle est composée de près de 2000 syndicats. Elle regroupe plus de 325 000 travailleuses et travailleurs réunis sur une base sectorielle ou professionnelle dans huit fédérations, ainsi que sur une base régionale dans treize conseils centraux, principalement sur le territoire du Québec.

 

Entente de principe à l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis

Cette nuit, une entente de principe est intervenue entre le Syndicat des travailleuses et des travailleurs de l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis (CSN) (STTHGPD) et l’employeur. Celle-ci sera présentée aux membres prochainement en assemblée générale. Aucun commentaire ne sera émis d’ici là.

Affilié à la FC–CSN, le STTHGPD compte environ 100 membres. Le secteur de l’hôtellerie de la FC–CSN regroupe près de 5000 membres dans 57 syndicats. La Fédération du commerce–CSN compte 30 000 membres regroupés au sein de 360 syndicats œuvrant dans les domaines du commerce de gros et de détail, de l’agroalimentaire, de la finance et du tourisme.

Fondée en 1921, la CSN est une organisation syndicale qui œuvre pour une société solidaire, démocratique, juste, équitable et durable. À ce titre, elle s’engage dans plusieurs débats qui intéressent la société québécoise. Elle est composée de près de 2000 syndicats. Elle regroupe plus de 325 000 travailleuses et travailleurs réunis sur une base sectorielle ou professionnelle dans huit fédérations, ainsi que sur une base régionale dans treize conseils centraux, principalement sur le territoire du Québec.

Le TAT donne raison au syndicat sur toute la ligne

Hier, dans une décision remise aux parties en fin d’après-midi, le Tribunal administratif du travail (TAT) a donné raison sur toute la ligne au Syndicat des travailleuses et des travailleurs de l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis (CSN) (STTHGPD). Dans une requête déposée le 8 mars dernier, le syndicat reprochait à l’employeur d’avoir eu recours aux services de briseurs de grève dans le cadre du conflit qui dure depuis plus de trois mois.

« Nous avons rassemblé des preuves concrètes qui documentaient la présence et le travail de personnes qui contrevenaient au Code du travail. Dès le 8 mars, l’employeur a reconnu le recours illégal à trois cadres engagés après le dépôt de l’avis de négociation et a accepté de renoncer à utiliser leurs services jusqu’à l’audition du 16 mars, de souligner Yvon Therrien, président du STTHGPD. En tout, le juge a identifié cinq personnes qui ont contrevenu aux dispositions anti-briseurs de grève. Le travail des employé-es de l’agence de sécurité de l’hôtel a également été la cible de la décision on ne peut plus claire sur le sujet. Ceux-ci ne pourront plus accomplir des tâches courantes durant les horaires de jour et de soir. »

Rappelons que la direction de l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis a décrété un lock-out le matin du 14 décembre dernier, à la veille du congé des fêtes.

« Depuis le début de la négociation, nous avions pu prendre la juste mesure de ce que l’employeur était prêt à déployer contre les femmes et les hommes qui travaillent pour lui. Dès le début du lock-out, nous nous doutions qu’il aurait recours à ce type de stratégie afin de briser le moral des membres du syndicat, de souligner Michel Valiquette, trésorier de la Fédération du commerce–CSN et responsable politique de la négociation coordonnée de l’hôtellerie. Sans la centaine de travailleuses et de travailleurs qui accomplissent leur travail chaque jour, il est illusoire qu’un employeur puisse gérer ses 352 chambres sans un soutien extérieur. Notre rapport de force est là et le tribunal vient de le reconnaître sans équivoque. La haute saison arrive à grands pas et si l’employeur désire le retour à ses affaires normales, il devra plus que jamais négocier de bonne foi avec le syndicat. »

Affilié à la FC–CSN, le STTHGPD compte environ 100 membres. Le secteur de l’hôtellerie de la FC–CSN regroupe près de 5000 membres dans 57 syndicats. La Fédération du commerce–CSN compte 30 000 membres regroupés au sein de 360 syndicats œuvrant dans les domaines du commerce de gros et de détail, de l’agroalimentaire, de la finance et du tourisme.

Fondée en 1921, la CSN est une organisation syndicale qui œuvre pour une société solidaire, démocratique, juste, équitable et durable. À ce titre, elle s’engage dans plusieurs débats qui intéressent la société québécoise. Elle est composée de près de 2000 syndicats. Elle regroupe plus de 325 000 travailleuses et travailleurs réunis sur une base sectorielle ou professionnelle dans huit fédérations, ainsi que sur une base régionale dans treize conseils centraux, principalement sur le territoire du Québec.

 

Le syndicat dénonce à nouveau l’attitude de l’employeur

Ce midi, les membres du Syndicat des travailleuses et des travailleurs de l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis (CSN) (STTHGPD) ont manifesté devant l’Hôtel Chantecler à Sainte-Adèle, propriété du groupe Hôtels Gouverneur, afin de dénoncer à nouveau l’attitude de leur employeur.

« Depuis le mois de mai dernier, qui a marqué le début de notre négociation, nous avons tenu 16 rencontres et nous sommes encore loin d’un règlement. Nous avons fait appel à la conciliation parce que l’employeur n’affichait aucune ouverture, ce qui nous a indiqué rapidement qu’un conflit se préparait. Les pourparlers n’aboutissent pas et la partie patronale ne dispose pas des mandats nécessaires pour régler cette négociation. Nous avions même réglé certaines clauses sur lesquelles l’employeur a retiré son engagement par la suite », de dénoncer Yvon Therrien, président du STTHGPD.

« Le mois de mars s’annonce déjà occupé dans le secteur de l’hôtellerie montréalais et, grâce au 375e anniversaire de Montréal et du 150e anniversaire du Canada, la saison touristique de 2017 pourrait surpasser les records atteints ces dernières années. De ce fait, nous savons que Hôtels Gouverneur disposera des ressources financières pour offrir de bonnes conditions de travail à ses salarié-es, à l’image des autres établissements qui se sont entendus avec leurs travailleuses et leurs travailleurs », de déclarer Diane David, secrétaire générale de la Fédération du commerce–CSN.

« Même si ce lock-out décrété dix jours avant Noël dure depuis près de trois mois, les membres du syndicat sont solidaires et déterminés. Nous saluons et soutenons leur lutte, leur persévérance et leur combativité exemplaires afin d’obtenir leur juste part des revenus qu’elles et ils génèrent tous les jours pour cet employeur irrespectueux », de conclure Frédéric Brun, vice-président du Conseil central des Laurentides.

Rappelons que la direction de l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis a décrété un lock-out le matin du 14 décembre dernier, à la veille du congé des fêtes. La prochaine date de négociation est prévue le 14 mars.

Affilié à la FC–CSN, le STTHGPD compte environ 100 membres. Le secteur de l’hôtellerie de la FC–CSN regroupe près de 5000 membres dans 57 syndicats. La Fédération du commerce–CSN compte 30 000 membres regroupés au sein de 360 syndicats œuvrant dans les domaines du commerce de gros et de détail, de l’agroalimentaire, de la finance et du tourisme.

Fondée en 1921, la CSN est une organisation syndicale qui œuvre pour une société solidaire, démocratique, juste, équitable et durable. À ce titre, elle s’engage dans plusieurs débats qui intéressent la société québécoise. Elle est composée de près de 2000 syndicats. Elle regroupe plus de 325 000 travailleuses et travailleurs réunis sur une base sectorielle ou professionnelle dans huit fédérations, ainsi que sur une base régionale dans treize conseils centraux, principalement sur le territoire du Québec.

Le syndicat interpelle la haute direction des Hôtels Gouverneur

Ce midi, les membres du Syndicat des travailleuses et des travailleurs de l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis (CSN) (STTHGPD) ont manifesté devant le siège social de leur employeur, à Montréal.

« Depuis le mois de mai dernier qui a marqué le début de notre négociation, nous avons rapidement demandé la conciliation. L’attitude de l’employeur nous indiquait déjà qu’un conflit se dessinait à l’horizon. Très peu d’avancées ont été réalisées depuis tout ce temps. Les pourparlers piétinent et la partie patronale n’a toujours pas les mandats qu’il lui faut pour régler cette négociation. L’employeur est même revenu sur plusieurs engagements relativement à des éléments normatifs sur lesquels nous nous étions entendus, de dénoncer Yvon Therrien, président du STTHGPD. Nous sommes ici aujourd’hui afin d’interpeller la haute direction des Hôtels Gouverneur, qui détient le pouvoir de donner des mandats clairs à la partie patronale pour qu’enfin, nous réglions ce conflit ».

« Plusieurs autres grands hôtels de la métropole ont obtenu des ententes de principe et les éléments de la plateforme de la négociation coordonnée. À l’aube d’une nouvelle saison qu’on prévoit très occupée, il est clair que la haute direction des Hôtels Gouverneur a les moyens d’accorder les mêmes conditions de travail obtenues dans les autres établissements », de déclarer Michel Valiquette, trésorier de la Fédération du commerce–CSN et responsable politique de la négociation coordonnée de l’hôtellerie.

« Depuis le 2 septembre 1981, date de fondation de leur syndicat affilié à la CSN, plusieurs luttes exemplaires ont été menées par les travailleuses et les travailleurs qui vivent actuellement ce conflit. Au nom de la CSN, je tiens à saluer leur courage, leur détermination et surtout, leur solidarité légendaire qui leur a permis d’obtenir les conditions de travail qui sont les leurs », de souligner Francine Lévesque, vice-présidente de la CSN.

« Les membres du syndicat font face à un employeur odieux qui les a mis en lock-out dix jours avant Noël. Depuis deux mois, elles et ils sont sur le trottoir et quand on les côtoie, on peut constater à quel point leur persévérance et leur combativité demeurent exemplaires. Je leur lève mon chapeau ! Ils peuvent compter sur notre entière solidarité pour mener leur lutte jusqu’à ce qu’ils obtiennent satisfaction », de conclure Dominique Daigneault, présidente du Conseil central du Montréal Métropolitain (CCMM–CSN)

Rappelons que la direction de l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis a décrété un lock-out le matin du 14 décembre dernier, à la veille du congé des fêtes. La prochaine date de négociation est prévue le 24 février

 

Lock-out à l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis

La direction de l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis a décrété un lock-out tôt ce matin.

« Nous négocions depuis le mois de mai dernier et rapidement, nous avons dû demander la conciliation. Depuis tout ce temps, les pourparlers piétinent et nous sentons que la partie patronale ne dispose pas des mandats qu’il lui faudrait pour régler cette négociation. Plusieurs demandes que nous avons déposées, qui visent à régler des problèmes, sont totalement ignorées. L’employeur a même retiré son engagement relativement à certains éléments normatifs sur lesquels les parties s’étaient pourtant entendues lors des discussions à la table de négociation, de dénoncer Yvon Therrien, président du Syndicat des travailleuses et des travailleurs Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis (CSN) (STTHGPD). Nous sommes toutefois déterminés à obtenir le respect auquel nous avons droit, à l’instar des treize autres hôtels qui ont obtenu des ententes de principe et les éléments de la plateforme de la négociation coordonnée. »

« Décréter un lock-out à la veille du congé des fêtes, ça démontre une attitude vraiment cavalière de la part de cet employeur. Nous allons tout mettre en œuvre pour que ces femmes et ces hommes obtiennent leur juste part des profits que les propriétaires de cet hôtel encaissent tous les jours », de déclarer Serge Fournier, président de la Fédération du commerce–CSN.

À propos
Affilié à la FC–CSN, le STTHGPD compte environ 100 membres. Le secteur de l’hôtellerie de la FC–CSN regroupe près de 5000 membres dans 57 syndicats. La Fédération du commerce–CSN compte 30 000 membres regroupés au sein de 360 syndicats œuvrant dans les domaines du commerce de gros et de détail, de l’agroalimentaire, de la finance et du tourisme.

Fondée en 1921, la CSN est une organisation syndicale qui œuvre pour une société solidaire, démocratique, juste, équitable et durable. À ce titre, elle s’engage dans plusieurs débats qui intéressent la société québécoise. Elle est composée de près de 2000 syndicats. Elle regroupe plus de 325 000 travailleuses et travailleurs réunis sur une base sectorielle ou professionnelle dans huit fédérations, ainsi que sur une base régionale dans treize conseils centraux, principalement sur le territoire du Québec.