Quand notre responsabilité collective est de mieux faire
« L’heure n’est pas au blâme, mais bien à l’identification de moyens concrets pour redresser la situation. Nous devons trouver les modifications qui doivent être apportées à la loi pour qu’elle permette réellement la reconnaissance de ce droit fondamental des femmes qui est inscrit dans la Charte des droits et libertés de la personne depuis maintenant plus de trente ans. »