Les travailleurs et les travailleuses de Metro-Richelieu réunis en assemblée générale, dimanche, ont décidé à l’unanimité d’exercer des moyens de pression au moment où leur comité de stratégie le jugera opportun. Cette décision exclue toutefois la grève. Leurs représentants ont jusqu’à maintenant participé à plus de 90 séances de négociation avec l’employeur sans que cela ne permette d’avancées significatives.
L’employeur est en demande sur un nombre important de sujets sensibles. Il projette notamment la fermeture de la section transport et compte ainsi faire disparaître par attrition plus d’une centaine d’emplois. Le syndicat est composé de trois sections soit l’entrepôt avec 220 membres, le transport 110 et les bureaux 120. De nouvelles rencontres de négociation sont prévues cette semaine.
Le Syndicat des travailleurs et des travailleuses des épiciers unis Metro-Richelieu est affilié à la Fédération du commerce- CSN.
