Menace de mises à pied massives à la Télé-université (Téluq)

Articles récents

Une nouvelle clinique Lacroix pour accentuer les problèmes du réseau de la santé

Une nouvelle clinique Lacroix pour accentuer les problèmes du réseau de la santé

Nous apprenions dernièrement par les réseaux sociaux qu’une nouvelle clinique de médecine privée allait ouvrir à…
Résidence Le Dufresne : il y a une limite à presser le citron

Résidence Le Dufresne : il y a une limite à presser le citron

Confinés au seuil du salaire minimum, les employé-es de la résidence pour aîné-es Le Dufresne dénoncent…
À moins d’avancées en négociation, l’école de langues ILSC–Montréal se dirige vers la grève

À moins d’avancées en négociation, l’école de langues ILSC–Montréal se dirige vers la grève

Après des mois de négociation, les enseignantes et les enseignants de l’école de langues ILSC–Montréal lancent…
Budget fédéral  2024: un pas vers plus de justice fiscale

Budget fédéral  2024: un pas vers plus de justice fiscale

La CSN salue les augmentations d’impôt sur les gains en capital de plus de 250 000 $.…
Budget fédéral 2024 - Toujours pas assez de logements d'ici 2030

Budget fédéral 2024 - Toujours pas assez de logements d'ici 2030

Les nouvelles dépenses d’Ottawa pour le logement, annoncées avant le budget, représentent un effort louable d’augmentation…
Renaud-Bray: un salon du livre sur le dos des travailleuses et des travailleurs!

Renaud-Bray: un salon du livre sur le dos des travailleuses et des travailleurs!

Les membres du Syndicat des travailleuses et travailleurs de Librairie Renaud-Bray (CSN), qui représente les employé-es…

Téluq

Capture d’écran 2017-11-30 à 12.08.03

Menace de mises à pied massives à la Télé-université (Téluq)

Réunis en assemblée générale le 29 novembre, les membres du Syndicat des tuteurs et tutrices de la Télé-université (STTTU) ont pu mesurer l’ampleur de la réorganisation initiée par leur employeur depuis plus d’un an.

Après avoir transféré en sous-traitance l’encadrement d’environ 37 % des étudiants-es, provoquant la mise à pied d’une quarantaine de tuteurs et de tutrices, la direction de la l’université se livre à une seconde attaque. Elle crée des postes de « professeurs-es sous contrat », qui reprendront l’encadrement des étudiants-es, une tâche effectuée depuis toujours par les tuteurs et les tutrices. De l’aveu même du porte-parole patronal, ceux-ci vont perdre 75 % de leurs tâches d’ici quelques semaines en raison de la restructuration. Ce chiffre ne tient pas compte des étudiants-es déjà transféré-es au sous-traitant.

Le Syndicat a entrepris plusieurs recours juridiques, mais ce qui va, souhaitons-le, contribuer à sauver les emplois est la mobilisation des 200 tuteurs et tutrices dont plusieurs ont plus de vingt ans d’expérience à l’Université TÉLUQ. Solidarité !

 

Partager cette page sur Facebook Twitter LinkedIn Reddit Pinterest WeChat Mix Pocket

À LA UNE

Le Point syndical  automne 2023