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Un geste antisyndical manifeste, selon la CSN

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Un geste antisyndical manifeste, selon la CSN

La fermeture soudaine du tout premier marché d’alimentation Couche-Tard syndiqué, situé au coin des rues Jean-Talon et d’Iberville fait penser « à une reprise d’un mauvais film de série B », selon Louis Roy, président de la CSN.

Les travailleuses et les travailleurs syndiqués de ce Couche-Tard étaient en pleine négociation de leur toute première convention collective et avaient entrepris, le matin même, leurs premiers moyens de pression en apposant un autocollant sur leurs vêtements de travail. « Pour une compagnie qui se targue de respecter les droits de ses employé-es, on trouve que c’est une réaction plutôt démesurée, s’étonne Louis Roy. Surtout en pleine période de négociation, alors que ces travailleuses et ces travailleurs tentent de faire valoir leurs droits les plus fondamentaux. C’est d’autant plus étonnant que la compagnie a déclaré un bénéfice net de 370,1 millions $ pour l’année 2011 ! », s’indigne-t-il.

La centrale syndicale entreprendra tous les recours juridiques appropriés pour contester cette fermeture, comme ce fut le cas pour celle survenue au magasin situé à l’intersection des rues Beaubien et Saint-Denis, le 6 avril dernier.

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