Vidéo, 28 avril 2024
Lire la vidéo sur Vidéo, 28 avril 2024

Le tribunal expulse des scabs de l’entrepôt de Jean Coutu

Articles récents

28 avril : des données toujours aussi dérangeantes pour l’année 2023

28 avril : des données toujours aussi dérangeantes pour l’année 2023

Le 28 avril, la Confédération des syndicats nationaux souligne chaque année la Journée internationale de commémoration des…
Le maintien de l’équité salariale ne doit pas se faire au rabais

Le maintien de l’équité salariale ne doit pas se faire au rabais

La CSN salue une récente décision du tribunal qui indique que les employeurs ne peuvent dévier…
Les employé-es de la SAQ en grève contre la précarité d’emploi

Les employé-es de la SAQ en grève contre la précarité d’emploi

Après plus d’un an de négociation, toujours sans entente sur les aspects normatifs de leur convention,…
« Nous aussi, on veut notre part ! » – Jean-Guy Picard

« Nous aussi, on veut notre part ! » – Jean-Guy Picard

Le Syndicat des travailleuses et travailleurs des Autobus Voltigeurs–CSN et le Syndicat du transport de la…
Les employé-es de la SAQ en grève mercredi et jeudi

Les employé-es de la SAQ en grève mercredi et jeudi

À moins d’avancées significatives à la table de négociation aujourd’hui et demain, les 5000 employé-es de…
Un premier entrepôt Amazon en voie d’être syndiqué au Québec

Un premier entrepôt Amazon en voie d’être syndiqué au Québec

Un premier entrepôt d’Amazon est en voie d’être syndiqué au Québec : la CSN a en…

50e jour de lock-out

CSN, Lockout, Jean-Coutu
CSN, Lockout, Jean-Coutu

Le tribunal expulse des scabs de l’entrepôt de Jean Coutu

Alors que Metro, propriétaire de Jean Coutu, affirme que son « plan de contingence » ne compte que sur du personnel-cadre pour faire perdurer un lock-out depuis le 24 septembre, le Tribunal administratif du travail (TAT) vient d’ordonner le retrait de 23 personnes qui étaient présentes lors de l’enquête du ministère du Travail au centre de distribution de Jean Coutu de Varennes, le 27 octobre dernier.

« C’est une première manche de gagnée devant les tribunaux et nous sommes sûrs de pouvoir faire toutes les démonstrations nécessaires lors de l’audience sur le fond. Au-delà de cette bataille juridique, nous pensons que Jean Coutu doit revenir à la table de négociation le plus rapidement possible avec une réelle intention de trouver un terrain d’entente », soutient Audrey Benoît, présidente du Syndicat des travailleuses et travailleurs de PJC Entrepôt–CSN. Cette dernière rappelle que 680 familles s’appauvrissent pendant que l’employeur viole le Code du travail.

Il y avait 68 personnes le jour de l’enquête du ministère à l’entrepôt de Varennes. La CSN estime que plus d’une trentaine de celles-ci n’étaient pas des cadres, mais des briseurs de grève. L’ordonnance provisoire du TAT lui donne en bonne partie raison dans cette première manche et il ne l’aurait pas fait si les arguments de la partie syndicale n’étaient pas fondés.

Il est important de dire également que les quarts de travail de soir et de nuit n’ont pas encore fait l’objet d’une enquête et qu’il est possible que de nouvelles personnes soient soupçonnées d’être des briseurs de grève. La CSN prendra tous les moyens nécessaires pour faire en sorte que le conflit actuel respecte la législation en vigueur au Québec.

Partager cette page sur Facebook Twitter LinkedIn Reddit Pinterest WeChat Mix Pocket

À LA UNE

Caroline Senneville sur la syndicalisation d'un entrepôt AMAZON à Laval
Partager cette nouvelle

Le Point syndical  automne 2023

Vie syndicale