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Les employé-es mis à pied ne se laisseront pas faire

Les employé-es de soutien du Collège Stanislas mis sauvagement à pied en juin dernier ont profité de la journée portes ouvertes pour rappeler à l’employeur qu’il devra assumer les conséquences de ses gestes.

Lors d’une manifestation bruyante mais pacifique, les travailleuses et les travailleurs, aujourd’hui sans emploi, ont sensibilisé les visiteurs à l’attitude méprisante de la direction du collège.

Le Syndicat des employé-es de soutien du Collège Stanislas (CSN) a aussi enclenché des procédures judiciaires afin que justice soit rendue. « Nous avons pris les moyens afin de contester le recours à la sous-traitance, alors que notre convention collective encadrait cette question. Nous avons aussi pris les moyens afin que l’employeur nous réintègre et nous dédommage en lien avec ce que nous avons subi », a expliqué le président du syndicat, Jean Lacoursière.

La CSN, le syndicat des employé-es de soutien ainsi que le collège Stanislas ont exprimé la volonté commune d’accélérer le processus d’arbitrage devant le Tribunal administratif du travail.

Les employé-es mis à pied profitent de la rentrée pour se faire entendre

La trentaine d’employé-es de soutien qui ont été mis à pied par la direction du Collège Stanislas, ont profité de la rentrée scolaire pour se faire entendre et sensibiliser les parents d’élèves. Mis abruptement à la porte en juin dernier, les travailleuses et les travailleurs ont demandé aux parents de faire pression sur les membres du conseil d’administration de l’établissement, afin qu’ils soient réintégrés.

« Nous voulons que la négociation reprenne, et nous voulons trouver une solution qui fera l’affaire des deux parties » a expliqué le président du syndicat, Jean Lacoursière. « Mais la première étape est la réintégration des employé-es », a t-il insisté.

Tout au long de la négociation qui a précédé les mises à pied, le syndicat a fait preuve de bonne foi en étant prêt à certaines concessions touchant notamment aux salaires, aux horaires et à des abolitions de poste. « Malgré cela la direction du collège exigeait encore et toujours plus de concessions sans garantir aux employé-es qu’ils conserveraient leur emploi et qu’il n’allait pas recourir à la sous-traitance » a noté pour sa part Nathalie Arguin, secrétaire générale de la Fédération des employées et employés de services publics (FEESP-CSN). « Il est important de rappeler que le collège n’est pas en difficulté financière et qu’il reçoit des millions de dollars en subvention.  »

Un moment pénible pour les ex-travailleurs
Cette première journée d’école a été particulièrement pénible pour les travailleurs mis à la porte, dont certains cumulaient des dizaines d’années d’ancienneté. « La rentrée a toujours été une période fébrile au collège et à chaque fois les employé-es de soutien mettaient tout en œuvre pour qu’elle se déroule de façon ordonnée et sécuritaire. Aujourd’hui ils ont dû se contenter du rôle d’observateur et c’est bien triste » a dénoncé de son côté Charles Sainte-Marie, vice-président du Conseil Central du Montréal Métropolitain-CSN.

Appuyé par la FEESP-CSN, le CCMM-CSN et la CSN, le Syndicat des employé-es de soutien du Collège Stanislas-CSN entend poursuivre sa bataille afin de permettre à ses membres de regagner leur emploi. Des actions juridiques seront déposées sous peu.

Les employés de soutien mis à pied pour recourir à la sous-traitance

Ils sont une trentaine de travailleuses et de travailleurs qui, dans certains cas, œuvrent au Collège Stanislas depuis plus de 15 ans. Ils travaillent à l’entretien, à la maintenance, dans les laboratoires et à la sécurité. Les élèves les connaissent souvent par leur nom et ils se font un devoir de veiller à la réputation de ce prestigieux établissement. Malheureusement, au printemps 2017, la direction du collège exprime son souhait de recourir à la sous-traitance. La résistance s’organise.

Le Collège Stanislas est un établissement composé de deux campus, un à Montréal et un à Québec, qui offre aux élèves d’ici un pro­gramme pédagogique conforme à celui du ministère français de l’Éducation nationale. Le tout adapté au contexte québécois. Le collège reçoit au-delà d’un million de dollars en subvention des gouvernements québécois et français.

Affilié à la FEESP–CSN, le Syndicat des employé-es de soutien du Collège Stanislas a entamé au printemps la négociation de la convention collective qui arrivait à échéance le 30 juin 2017. « Dès le départ, nous nous doutions que cette négociation serait difficile. La présentation par l’employeur d’un “arbre de Noël” était un signe précurseur », explique le président du syndicat, Jean Lacoursière.

Demandes inacceptables

Devant la fermeture complète de l’employeur, le syndicat demande rapidement la conciliation. L’employeur transmet au syndicat son dépôt patronal qui se résume à des compressions se chiffrant à 465 000 $ et qui se décline en deux volets : des coupes dans les conditions de travail équivalant à 265 000 $ et l’abolition de quatre postes totalisant 200 000 $. Il exige aussi un gel salarial pour les deux premières années, et offre 1 % par année pour les trois années suivantes.

En plus des compressions annoncées, l’employeur veut transférer la presque totalité des salarié-es d’entretien et de maintenance vers un horaire de nuit, même s’ils ont toujours eu un horaire de jour et de soir. Il souhaite également imposer le retrait d’heures garanties pour certains employé-es réguliers, restreindre l’accessibilité aux assurances, signer la fin de l’uniforme fourni, abolir les primes de soir, etc. « À la première journée de négociation, l’employeur a laissé entendre qu’à défaut d’accéder à la presque totalité de ses demandes, il ira de l’avant avec la sous-traitance et licenciera la totalité des employé-es à l’échéance de la convention, et cela, malgré une disposition de la convention collective qui empêche cette pratique. C’est ce qu’on appelle nous mettre un couteau sous la gorge », note le président du syndicat.

Un collège rentable

Voulant faire la lumière sur les finances de l’établissement, pour entres autres savoir si le recours à la sous-traitance était inévitable, le syndicat a fait appel à MCE Conseils. Malgré la transmission tardive des documents financiers, une analyse de ceux-ci permet d’en arriver à la conclusion que les demandes de coupes de l’employeur s’inscrivent dans un contexte où ses activités de fonctionnement sont rentables et qu’il n’est donc aucunement justifié qu’il envisage le recours à la sous-traitance.

Malgré une mobilisation exemplaire et l’appui de nombreux syndicats, dont celui des enseignantes et enseignants du collège affilié à la FNEEQ–CSN, les employé-es de soutien ont reçu leurs lettres de licenciement, par huissier, à la fin du mois de juin.

« Nous ne baisserons pas les bras. Nous avons plusieurs possibilités de recours et nous entendons poursuivre la lutte. Depuis le début, l’employeur a un objectif : nous briser. Mais c’est bien mal nous connaître », conclut Jean Lacoursière.

Le Collège Stanislas met sauvagement à pied ses employés de soutien

La direction du Collège Stanislas a mis son plan à exécution et a procédé au licenciement de 35 employé-es de soutien de ses campus de Montréal et de Québec. Tout au long de la négociation, l’employeur a tenté de briser le syndicat en le forçant à accepter des reculs majeurs, tout en le menaçant de recourir à la sous-traitance si ses conditions n’étaient pas acceptées.  « Après nous avoir mis un couteau sous la gorge tout au long de la négo, le Collège a fait ce qu’il souhaitait faire depuis le début, nous mettre à pied », a dénoncé le président du Syndicat des employé-es de soutien du Collège Stanislas – CSN, Jean Lacoursière.

Reculs et sous-traitance

« La convention collective du syndicat interdit le recours à la sous-traitance. Malgré cela, l’employeur nous a menacés séance après séance. Il prétendait que le recours à la sous-traitance lui permettrait d’économiser entre 400 000 $ et 600 000 $ tout en alléguant du même souffle qu’il n’avait pas de problèmes financiers. Non seulement rien ne justifie sa demande, mais il a refusé tout au long de la négociation de nous prouver qu’en ayant recours au privé, il économiserait une telle somme », a dénoncé Nathalie Arguin, secrétaire générale de la FEESP–CSN. C’est inévitablement en rognant sur la qualité des services et sur la sécurité des élèves que l’employeur compte faire des économies ! »

Parmi les reculs qui étaient exigés par l’employeur, notons :

– Le retrait d’heures garanties pour certains employé-es réguliers ;

– Le transfert vers un horaire de 22 h à 6 h pour la majorité des emplois ;

– L’abolition de quatre postes ; 

– Un gel salarial de trois ans, suivi d’augmentations de 1 % pendant deux ans. Donc, un total de 2 % sur cinq ans ;

– L’abolition de jours de vacances ;

– L’accessibilité réduite aux assurances ;

– L’abolition de la paye lors du repas de 30 minutes ;

– La fin de l’uniforme fourni ; 

– L’abolition des primes de soir et pour le grand ménage. 

Des hommes et des femmes à la rue

Ces femmes et ces hommes, dont certains travaillent à l’entretien et à la maintenance du collège depuis plus d’une décennie, ont reçu la semaine dernière, par huissier, leur lettre de licenciement. « Il s’agit ici d’hommes et de femmes dont plusieurs ont des enfants, qui se retrouvent du jour au lendemain à la rue », a pour sa part déploré Dominique Daigneault, présidente du Conseil central du Montréal métropolitain (CCMM–CSN). « L’employeur a même eu le culot de faire cesser la couverture d’assurance des travailleurs le jour même où il les a mis à pied, alors qu’ils sont pour l’instant en vacances pour la plupart. Le Collège aura démontré une attitude d’un total mépris à l’endroit des travailleuses et des travailleurs tout au long de cette négociation qu’il termine comme il l’a débutée, de façon odieuse. »

Recours envisagés

Le Syndicat des employé-es de soutien du Collège Stanislas – CSN ne compte pas abandonner la bataille et entend contester les licenciements. La voie juridique sera aussi analysée. « Tant et aussi longtemps que ce sera nécessaire, la CSN sera présente pour appuyer les employé-es de soutien du Collège Stanislas. Notre appui sera à la hauteur de leur bataille », a pour sa part conclu Jean Lortie, secrétaire général de la CSN.

À propos

Le Conseil Central du Montréal métropolitain–CSN regroupe près de 100 000 membres des secteurs public et privé, répartis au sein de syndicats à Montréal, Laval, au Nunavik et à la Baie James, tandis que la FEESP–CSN représente près de 60 000 membres répartis dans plus de 425 syndicats.

Mandat de grève générale illimitée

Réunis en assemblée générale lundi à midi, les employé-es de soutien du Collège Stanislas ont voté dans une proportion de 89 % en faveur d’un recours à la grève générale illimitée à utiliser au moment jugé opportun.

« Depuis le début de cette négociation, l’employeur ne souhaite qu’une chose, avoir notre peau. Même si nous avons fait des concessions majeures, la direction du collège refuse de régler une fois pour toutes le recours à la sous-traitance, qui est au cœur de cette négociation difficile », a expliqué le président du Syndicat des employé-es de soutien du Collège Stanislas-CSN, Jean Lacoursière. En plus de pouvoir recourir à la sous-traitance, l’employeur exige du syndicat de nombreux reculs, dont le transfert vers un horaire de nuit pour la majorité des travailleurs et travailleuses, l’abolition de primes diverses, le retrait d’heures garanties, un gel de salaire, la fin de l’uniforme fourni et l’accessibilité aux assurances réduite.

Depuis le début de la négociation, le syndicat, qui représente une trentaine d’employé-es, a été de bonne foi. « Nous étions prêts à certaines concessions, touchant notamment à nos vacances, nos salaires, aux horaires, et même à des abolitions de postes. Mais en plus de toutes ces coupes, l’employeur voudrait nous faire avaler une lettre d’entente lui permettant d’avoir recours à la sous-traitance dans cinq ans et de nous mettre tous à la porte. C’est tout simplement inacceptable, d’autant que nous savons très bien que le Collège n’a pas de problèmes financiers » a déploré le président.

La trentaine d’employé-es de soutien avaient rejeté à l’unanimité l’offre odieuse de l’employeur le 17 juin dernier. Depuis, les négociations n’ont pas repris.

À propos

Le Conseil Central du Montréal métropolitain–CSN regroupe près de 100 000 membres des secteurs public et privé, répartis au sein de syndicats à Montréal, à Laval, au Nunavik et à la Baie James tandis que la FEESP–CSN représente près de 60 000 membres répartis dans plus de 425 syndicats.

Le Collège s’apprête à mettre une trentaine de travailleurs à la rue

Les employé-es de soutien du collège Stanislas ont tenu un point de presse ce midi afin de dénoncer l’attitude odieuse de l’employer qui a l’intention de les mettre tous à la porte et d’avoir recours à la sous-traitance.

« Notre employeur fait pendre une épée de Damoclès au-dessus de nos têtes. Son attitude va à l’encontre de la convention collective dûment signée par les parties, qui interdit le recours à la sous-traitance. Depuis le début de la négociation, nous avons l’impression qu’il n’a jamais réellement eu l’intention de trouver un compromis, mais plutôt de nous remplacer par une compagnie privée », a déploré le président du Syndicat des employé-es de soutien du Collège Stanislas-CSN, Jean Lacoursière.

Pour sa part, Nathalie Arguin de la FEESP-CSN a mis en lumière le fait que les raisons évoquées par l’employeur ne sont pas justifiées. « Nous savons que le collège ne connaît pas de difficultés financières. Nous avons procédé aux analyses financières et la conclusion est sans équivoque. Pourtant, le collège prétend devoir couper entre 400 000 $ et 600 000 $. S’il va de l’avant, il mettra à pied environ 30 personnes. Des hommes et des femmes qui, dans certains cas, travaillent au collège depuis des décennies. Travailleurs de l’ombre, ils sont celles et ceux qui, jour après jour, s’assurent que les élèves évoluent dans un environnement propice à l’apprentissage et à leur épanouissement », a dénoncé la secrétaire générale de la FEESP.

Finalement, Charles-Sainte-Marie, vice-président du CCMM-CSN, a dénoncé l’attitude inhumaine du Collège Stanislas dans le dossier. « Trente employé-es qui perdent leur travail, c’est aussi 30 familles qui écoperont. C’est pourquoi nous profitons de la kermesse d’aujourd’hui pour solliciter votre appui. Nous vous invitons à signer notre pétition et ainsi contribuer à envoyer un message clair au Collège Stanislas : choisir de mettre à pied d’honnêtes travailleuses et travailleurs constitue un geste odieux. »

À propos
La Fédération des employées et employés de services publics (FEESP-CSN) représente près de 60 000 membres répartis dans plus de 425 syndicats.

La pression monte d’un cran

Réunis en assemblée générale extraordinaire le samedi 3 juin, de nombreux membres du Syndicat des employé-es de soutien du collège Stanislas-CSN ont voté en faveur de moyens de pression à mettre en opération au moment jugé opportun. Devant la lenteur des négociations et les menaces de coupes massives, les travailleuses et les travailleurs ont voté à 100 % en faveur de la proposition.

Rappelons tout d’abord que notre négociation a débuté le 17 mars dernier. Dès la première rencontre, nous avons eu une bonne idée de la direction que souhaitait prendre le collège dans cette négociation.

Des demandes inacceptables

Alors que nos demandes syndicales étaient raisonnables, l’employeur a commencé par nous soumettre des demandes complètement inacceptables.

Il exigeait entres autres :

  • Le retrait d’heures garanties pour certains employé-es réguliers ;
  • Le transfert vers un horaire de 22 h à 6 h pour la majorité des emplois ;
  • L’accessibilité aux assurances réduite;
  • La fin de l’uniforme fourni ;
  • L’abolition des primes de soir pour le grand ménage et les petites vacances ;
  • L’abolition de quatre postes ;
  • Un gel salarial de trois ans, suivi d’augmentations de 1 % pendant deux ans. Donc, un total de 2 % sur cinq ans.

Menaces de sous-traitance

Soyons clairs, notre convention collective interdit le recours à la sous-traitance. Malgré cela, l’employeur nous menace séance après séance de mettre tout le monde à la porte et de recourir à une entreprise privée pour faire notre travail si nous n’acceptons pas ses demandes. Il prétend que le recours à la sous-traitance lui permettra d’économiser entre 400 000 $ et 600 000 $.

Pourtant, après une vérification menée par un conseiller spécialisé de la CSN, il est évident que l’employeur n’a pas de problèmes financiers. Non seulement rien ne justifie sa demande d’économie de 465 000 $, mais il refuse de nous prouver qu’en ayant recours au privé, il économiserait une telle somme.

Une mise en demeure à l’employeur

Devant les menaces de l’employeur et son manque de transparence, nous lui avons fait parvenir une mise en demeure dans laquelle nous lui rappelons :

  • Son obligation de faire preuve de bonne foi dans la négociation ;
  • Son obligation de respecter notre convention collective qui a été négociée et signée par les parties ;
  • Notre intention d’entreprendre tous les recours nécessaires afin de nous assurer du respect de nos droits.

Tous les membres du conseil d’administration ont aussi reçu une copie de cette mise en demeure.

Le ton a changé lors de notre dernière rencontre de négociation à la suite de l’envoi de notre mise en demeure. la négociation se corse et la pression augmente. Appuyés par plusieurs conseillers de la CSN, nous prouverons que nous savons nous tenir debout. notre mobilisation et notre solidarité feront la différence !

Négociation au Collège Stanislas de Montréal et de Québec

À l’occasion du 2e tour des élections françaises, qui se tient aujourd’hui dans les locaux du Collège Stanislas de Montréal, les employé-es du collège accentueront la pression sur l’employeur afin de dénouer l’impasse qui perdure dans les négociations.

Le Syndicat des employé-es du collège Stanislas (FEESP-CSN), qui représente le personnel de l’entretien ménager, de l’entretien général et les gardiennes et techniciennes de laboratoire, profitera de la présence des électeurs – dont de nombreux parents d’élèves fréquentant Stanislas –  afin de les sensibiliser aux enjeux de leur négociation.

Le syndicat et le collège sont actuellement en négociation pour renouveler leur contrat de travail. Devant les reculs majeurs exigés par l’employeur, les discussions se déroulent en conciliation devant le Tribunal administratif du travail (TAT). « Le Collège souhaite transférer notre travail de nuit et réduire de façon draconienne nos conditions de travail. Et comme si ce n’était pas suffisant, il nous menace d’abolir la majorité de nos postes en utilisant les services d’une firme de nettoyage privée si nous n’acceptons pas ses demandes de recul », explique Jean Lacoursière, président du syndicat des employé-es du Collège Stanislas – CSN. Alors que le collège confirme ne pas être en situation précaire, il exige toutefois des concessions qui avoisinent le demi-million de dollars.  

Le syndicat invite l’employeur à respecter les valeurs qui font la renommée du Collège Stanislas et qui sont chèrement partagées par tous, soit : le respect, la solidarité et l’ouverture. « Depuis des années, nous faisons bien notre travail avec le goût de l’effort et de façon responsable. Nous tenons à conserver nos acquis », conclut Jean Lacoursière.

À propos
La Fédération des employées et employés de services publics (FEESP-CSN) représente près de 30 000 membres dans 37 commissions scolaires francophones et anglophones et près de 4000 membres dans 34 cégeps. Elle regroupe plus de 200 membres œuvrant dans les établissements d’enseignement privés de même que 640 membres à l’Université Concordia.