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Le STT de la Ville de Mont Tremblant suspend la grève

Préoccupé-es par la crue des eaux et les risques d’inondation actuels, le syndicat des employé-es municipaux de la ville de Mont-Tremblant a pris aujourd’hui la décision de reporter les journées de grève prévues demain, vendredi, le 26 avril ainsi que samedi le 27.

« Nous sommes sans contrat de travail depuis décembre 2016, mais bien que nous voulions régler rapidement, notre priorité restera toujours de servir la population de Mont-Tremblant », a déclaré le président du syndicat, Kuang Selao. « Nous avons notre travail à cœur et nous espérons que la ville se le rappellera à la table de négociation », a-t-il ajouté.

Ville de Mont-Tremblant en grève

Le Syndicat des travailleuses et travailleurs de la Ville de Mont-Tremblant–CSN s’est doté d’une banque de six jours de grève, une première dans son histoire. Sans contrat de travail depuis décembre 2016, le syndicat se bat notamment contre la modification des horaires et échelles salariales, l’abolition de l’horaire d’été et pour une meilleure conciliation travail-famille et loisirs. « Cette grève est l’occasion pour nous de démontrer la force que nous avons lorsque nous décidons collectivement de nous mobiliser pour de meilleures conditions de travail », a déclaré le président du syndicat, Kuang Selao. À la suite des deux premières journées de grève, les 4 et 5 avril, une manifestation a eu lieu le 15 avril devant l’hôtel de ville. « Nous sommes très fiers de pouvoir compter sur la solidarité des syndicats des Laurentides et sur celle de la CSN en entier », a-t-il conclu.

Travailler pour la Ville de Mont-Tremblant, négocier avec Mont-Semblant

Le Syndicat des travailleuses et travailleurs de la Ville de Mont-Tremblant–CSN annonce aujourd’hui qu’il tiendra deux journées de grève les 4 et 5 avril prochains.

« Nous avons démontré à plusieurs reprises notre bonne volonté à vouloir avancer dans le processus de négociation. Lorsque l’employeur décide de quitter la table après 1 heure 17 minutes, c’est un manque de respect non seulement envers l’ensemble des employé-es municipaux, mais également envers le médiateur, d’ailleurs venu à leur demande », a déclaré le président du syndicat, Kuang Selao. Aux yeux du syndicat, les actions du directeur des ressources humaines et de la directrice générale démontrent tant leur amateurisme que leur méconnaissance du processus de négociation.

Malgré l’ouverture de la part du syndicat, qui a décidé, il y a quelques semaines, de procéder à un report de la grève, on se bute à une administration qui n’est même pas capable de se présenter à l’heure à la table de négociation. « Les travailleuses et travailleurs de la Ville de Mont-Tremblant pourront compter sur l’appui de la CSN lors de ces deux journées de grève et celles à venir. Nous ne les laisserons pas tomber ! », s’est exclamée Chantal Maillé, présidente du Conseil central des syndicats nationaux des Laurentides (CCSNL–CSN).

M. Selao rappelle qu’il n’y a eu aucune augmentation salariale dans les trois dernières années et que le syndicat continuera de se battre contre la modification de l’horaire, l’abolition de l’horaire d’été et les modifications substantielles à l’échelle salariale que le directeur des ressources humaines, Daniel Hébert, cherche à introduire. Rappelons que lors de la négociation, la Ville de Mont-Tremblant a présenté au syndicat une proposition visant à revoir complètement sa grille salariale pour l’ensemble des employé-es. « Depuis l’entrée en poste de M. Hébert, le climat de travail s’est détérioré à vitesse grand V. Il est impératif pour l’ensemble des cols bleus et cols blancs de sortir de cette impasse », a rajouté le président du syndicat.

Réunis en assemblée générale le 3 décembre dernier, les employé-es du STT de la Ville de Mont-Tremblant se sont dotés d’une banque de six jours de grève à utiliser au moment jugé opportun. Sans convention collective depuis plus de deux ans, le syndicat tient à réitérer son désir de poursuivre les négociations et invite la Ville de Mont-Tremblant à démontrer sa volonté de parvenir à une entente.

La solidarité réchauffe les rues de Mont-Tremblant

Plusieurs dizaines de travailleurs et travailleuses du Syndicat de la Ville de Mont-Tremblant (CSN) ont tenu ce midi une action de solidarité devant les bureaux de l’hôtel de ville en appui à leur comité de négociation.

Sans convention collective depuis deux ans, les cols bleus et blancs de la Ville de Mont-Tremblant ont réitéré leur désir de faire avancer les négociations et d’adopter une convention collective.

« Nous nous réjouissons que la Ville ait accepté de retourner à la table de négociations, mais nous tenons également à rappeler que nous disposons toujours d’une banque de six journées de grève que nous utiliserons au moment jugé opportun », souligne le président du syndicat Kuang Selao.

Le STT de la Ville de Mont-Tremblant suspend la grève prévue le 15 février

Le Syndicat des travailleuses et travailleurs de la Ville de Mont-Tremblant – CSN annonce aujourd’hui qu’il suspend la journée de grève prévue pour vendredi le 15 février. Suite à une rencontre avec la directrice générale de la Ville de Mont-Tremblant, Julie Godard, le Syndicat se réjouit que l’employeur ait accepté de retourner à la table de négociation.

Devant la lenteur des négociations, les salarié-es se sont dotés le 3 décembre dernier d’un mandat de grève de six jours, à exercer au moment jugé opportun. Sans convention collective depuis deux ans, le Syndicat tient à réitérer son désir de poursuivre les négociations et continuera de privilégier cette approche.

Grève de 24 h le 15 février 2019

Malgré plusieurs relances et devant l’inertie de la Ville de Mont-Tremblant à vouloir négocier, le Syndicat des travailleuses et travailleurs de la Ville de Mont-Tremblant (CSN) déclenchera une grève de 24 heures, le 15 février 2019.

Manifestation
Le 15 février prochain, sur l’heure du dîner, le Conseil central des Laurentides (CSN) maintient donc la manifestation prévue en soutien aux grévistes. « On ne peut pas accepter que la Ville se comporte ainsi, explique la présidente du conseil central, Chantal Maillé. Après deux ans sans convention, je pense que personne ne peut dire que les cols blancs et les cols bleus ne se sont pas montrés patients ».

Grève
Le syndicat dispose, à cet effet, d’un mandat de grève de six jours à exercer au moment jugé opportun. Après négociation, les services essentiels seront assurés par le syndicat pour la population de Mont-Tremblant.

Les positions irresponsables de l’employeur dénoncées

Pour le Syndicat des travailleuses et travailleurs de la Ville de Mont-Tremblant–CSN, la volonté patronale de revoir immédiatement toute la structure salariale de la Ville de Mont-Tremblant met en péril l’objectif de convenir d’une entente satisfaisante à court terme.

En négociation, la Ville de Mont-Tremblant a présenté au syndicat une proposition visant à revoir complètement sa grille salariale. Au cours de la rencontre de négociation du 20 mars, le syndicat s’est montré prêt à s’engager dans un exercice sérieux de relativité salariale, après en avoir obtenu le mandat auprès de ses membres qui étaient contre cette idée au départ. Toutefois, le syndicat souhaite que cela se fasse par l’entremise d’un comité paritaire qui mènerait ses travaux au cours des prochains mois, permettant de conclure dès maintenant une entente satisfaisante pour le renouvellement de la convention collective.

« Jusqu’à maintenant, ce que l’employeur nous a déposé, c’est un document qu’il a bâti seul de son côté. Un exercice de relativité salariale ne peut pas être imposé unilatéralement ni être discuté à la va-vite sur le coin d’une table. Nous sommes prêts à nous engager dans une démarche sérieuse, mais il faut se donner les moyens d’y arriver dans le respect de toutes et de tous, souligne le président du syndicat Kuang Selao. Il y a donc deux conditions incontournables pour nous : le processus doit être mené de façon paritaire et on doit avoir une période de temps raisonnable pour le faire. Ce travail a été fait dans des villes de taille comparable et cela a pris au moins un an. Nous ne voulons pas étirer indûment les négociations.» La proposition syndicale permettrait de finaliser les travaux de la relativité salariale avant la prochaine révision de l’équité salariale de 2020.

Rappelons que de son côté, le syndicat ne porte pas de demandes ayant une importante incidence financière, ce qui devrait faciliter la conclusion d’une entente satisfaisante. Le syndicat cherche des améliorations normatives. Par exemple, mieux aménager les conditions de travail afin de favoriser la conciliation famille-travail-loisir de la centaine de cols bleus et cols blancs qui assurent les services municipaux à Mont-Tremblant.

« S’il y a des problèmes dans la structure de rémunération à Mont-Tremblant, ils ne sont pas apparus tout d’un coup. C’est complètement irréaliste de penser qu’on pourrait régler cela en quelques heures de négociation, poursuit la vice-présidente de la Fédération des employé-es de services publics (FEESP–CSN), Stéphanie Gratton, qui représente des milliers de travailleuses et de travailleurs dans le secteur municipal. Nous avons déjà mené ce type d’exercice ailleurs et nous savons très bien comment il faut procéder. Mont-Tremblant fait fausse route en tentant d’imposer ses vues comme elle le fait ».

Suivant la recommandation du médiateur au dossier, le syndicat a accepté l’idée de rencontrer le maire, Luc Brisebois, afin de faire le point sur l’état des négociations, mais celui-ci a refusé la tenue d’une telle rencontre.

«Il semble difficile pour le maire d’accepter l’idée que les travailleuses et les travailleurs devraient avoir un mot à dire sur leurs propres conditions de travail, enchaîne la présidente du Conseil central des Laurentides (CSN), Chantal Maillé. C’est déplorable parce que les cols blancs et les cols bleus ont fait un bout de chemin important en acceptant de réaliser un programme de relativité salariale comme le demande la Ville. Quant à nous, nous ne baisserons jamais les bras. Toute la CSN appuiera ces travailleuses et ces travailleurs ».

Rappelons qu’au moment où la Ville de Mont-Tremblant dépose un projet de grille salariale qui ferait reculer les salaires de 60 % de ses employé-es, le maire de la Ville reçoit près de 80 000 $ par année alors qu’il est au travail environ deux journées par semaine.

À propos
Le Syndicat des travailleuses et travailleurs de la Ville de Mont-Tremblant–CSN représente une centaine de cols blancs et de cols bleus à Mont-Tremblant. Il est affilié au Conseil central des Laurentides (CSN), à Fédération des employées et employés de services publics (FEESP–CSN) ainsi qu’à la Confédération des syndicats nationaux.

Nouveau contrat de travail pour les employé-es syndiqués

Réunis en assemblée générale le 18 septembre dernier, les employés syndiqués cols bleus et cols blancs de la Ville de Mont-Tremblant ont adopté leur nouveau contrat de travail dans une proportion de 96 %.

L’entente d’une durée de cinq ans prévoit notamment des augmentations générales des salaires de 14%, ainsi que la mise en place d’un régime de retraite à prestations déterminées.

Le Syndicat des travailleuses et travailleurs de la Ville de Mont-Tremblant – CSN représente une centaine de cols bleus et cols blancs. Celui-ci est affilié à la Fédération des employées et employés des services publics de la CSN (FEESP–CSN) et au Conseil central des Laurentides CSN.

Les travailleuses et les travailleurs élèvent d’un cran leurs moyens de pression

À l’aube du demi Iron Man, à la fin du mois de juin, les employé-es syndiqués de la Ville de Mont-Tremblant n’ont d’autres choix que d’élever d’un cran la mobilisation en appui à leur négociation. Ce mercredi 5 juin, un diner syndical sera tenu devant la Mairie, afin de souligner le lancement de cette deuxième phase d’actions en appui à la négociation.

Rappelons que, lors de l’assemblée générale du 29 janvier dernier, la centaine de travailleuses et travailleurs de la Ville de Mont-Tremblant avaient voté en faveur du déclenchement de moyens de pression.

De plus, en février, la partie syndicale avait requis du ministre du Travail la présence d’un conciliateur afin de poursuivre les négociations.

Malgré l’engagement ferme du directeur de la Ville d’en arriver à une entente avant le début de l’été 2013, les cinq rencontres de négociations qui ont eu lieu depuis l’arrivée du conciliateur n’ont permis aucune avancée significative à la table de négociation. Les parties demeurent toujours en discussion sur les termes normatifs de la négociation.

« C’est aussi notre objectif d’en arriver à une entente avant l’été. Le problème est que la volonté de la Ville ne se traduit pas à la table de négociation. Nous n’avons d’autres choix que d’accentuer nos moyens de pression. Loin de nous l’idée de perturber les services, mais nous comptons bien nous faire entendre et nous faire voir. À défaut d’un règlement rapide de la négociation, nous n’hésiterons pas à utiliser des fenêtres importantes de visibilité, telles que le demi Iron Man, en juin, l’Iron Man en août et, s’il le faut, les élections municipales de novembre », souligne Kuang Selao, président du Syndicat.

Les travailleuses et travailleurs de la Ville de Mont-Tremblant sont sans contrat de travail depuis le 31 décembre 2011. Une douzaine de rencontres de négociation ont eu lieu depuis l’échéance de la convention collective, sans que l’employeur ait déposé d’offres à la partie syndicale.

Le Syndicat des travailleuses et travailleurs de la Ville de Mont-Tremblant – CSN représente une centaine de cols bleus et cols blancs. Celui-ci est affilié à la Fédération des employées et employés des services publics de la CSN (FEESP) et au Conseil central des Laurentides CSN.